
Farfelue pour certains, inutile pour d'autres, voire inapplicable selon le président de la course londonienne David Bedford : cette potentielle consigne n'a pas fini de faire parler d'elle. Elle sera même débattue en septembre lors d'une réunion de l'Association Internationale des Fédérations d'Atlétisme à Rio.

Mais la véritable raison est à chercher du côté du porte monnaie : les taux d'assurance augmentent lorsque le coureur a un Ipod sur les oreilles. En France, il n'en est pas encore question. Au marathon de Paris du 6 avril, on pourra encore apercevoir l'espèce menacée du coureur "ipodé".
Pour les participants, si l'interdiction est officielle, les 26.2 miles à parcourir le 13 avril risquent de paraître nettement plus longs que d'ordinaire.
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